Bloc-notes du 22 décembre 2010

La vidéosurveillance se développe à Paris
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On apprend la mise en place active du plan baptisé 1 000 caméras, avec l’aménagement dans les 20 commissariats d’arrondissement de la ville, de murs d’écrans qui permettront de voir ce qui se passe dans les endroits les plus sensibles de celui-ci, dont certaines à vision nocturne.
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Pour le préfet de police de Paris, Michel Gaudin, la vidéo ne se substituera pas au policier, mais elle va indéniablement révolutionner sa façon de travailler.
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L’architecture du projet conçu par le préfet permettra à la police d’accéder aux images des milliers de caméras installés par la RATP et la SNCF, dans les équipements culturels et sportifs de l’Etat et de la ville et, des sociétés privés qui auront passé une convention à cet effet.
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Les images recueilles pourront désormais, contrairement au passé, être conservées en mémoire pendant un mois.
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L’objectif est de doter la police d’un outil pour les besoins du service d’ordre, de filature, pour vérifier une information ou mettre sous surveillance un secteur à risques, le tout, exploitable à partir des divers centres névralgiques.
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La chasse aux voitures les plus polluantes est ouverte
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A l’image de ce qui se pratique à l’étranger, le gouvernement cherche à réduire les émissions de particules fines nocives et responsables de l’augmentation des maladies respiratoires en ville.
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A cet effet, il a choisi cinq zones tests d’Actions prioritaires pour l’air, des ZAPA, où l’accès aux vieux véhicules Diesel et éventuellement aux 4x4 sera interdit et dans lesquelles les premières restrictions de circulation pourraient intervenir à la mi-2012.
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Les cinq zones tests seraient, l’Ile de France, le Grand Lyon, Grenoble-Alpes Métropole, Clermont Communauté et Pays d’Aix.
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Il ne s’agit pas, comme on peut le constater, des centres ville.
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Les passagers aériens sont moins bien traités que des colis
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On ne peut pas revenir au bon vieux temps, des avions de moins de 100 sièges et de l’escale technique pour relier Paris à New York où les voyageurs, peu nombreux étaient choyés, mais on ne peut pas les laisser à l’abandon parce qu’il neige, au point que la commission de Bruxelles s’en est émue.
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Alors que les voyageurs en partance peuvent retourner chez eux, le sort de ceux qui veulent regagner leur ville de départ, ou pire encore, ceux des voyageurs en transit est particulièrement dramatique.
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Le transporteur qui les a acheminés au lieu du transit, les débarque sans autres et celui qui doit les prendre en charge, ne les reconnait pas.
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Même à l’arrivée, le débarquement des passagers et la délivrance des bagages pose problème, par l’incapacité des services de l’aérodrome, de les accueillir correctement.
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Certes, personne n’a encore trouvé le moyen d’empêcher la neige de tomber et les aérodromes ne peuvent pas disposer d’équipements spéciaux pour faire face à des évènements climatiques exceptionnels pour la région.
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Même si aujourd’hui, le transport aérien est devenu un transport de masse, il doit bien exister des moyens pour ne pas laisser les voyages bloqués par des intempéries, à l’abandon.