Pour François Bayrou l'échec du conclave sur les retraites est un progrès et un espoir

Le conclave sur les retraites s'est soldé par une impasse. Mais pour François Bayrou, cet échec n'est pas une fin : c'est un jalon vers une recomposition sociale et budgétaire qu'il espère porter à l'automne. Une lecture volontariste, dans un contexte politique instable et sous haute tension parlementaire.

A contre-courant des commentaires désabusés, le Premier ministre François Bayrou n'a pas qualifié l'échec du conclave sur les retraites de revers. Bien au contraire : il y voit, paradoxalement, « un progrès » et même « un espoir ». Cette posture singulière repose sur une conviction : les désaccords profonds qui ont empêché un compromis immédiat ne doivent pas empêcher une traduction législative différée, notamment à travers le prochain budget de la Sécurité sociale.

Plutôt que de parler de blocage, Bayrou insiste sur des convergences qui, selon lui, dessinent des pistes solides : un meilleur traitement des carrières longues, une revalorisation des pensions des mères de famille, une (vous en avez lu 20%, il reste à lire 80%, de cet article.)

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