La transmission de la Covid-19 par voie aérienne fait l'objet d'études intenses

On constate que le SARS-CoV-2 circule toujours activement, qu'il est très contagieux par le nombre de contaminations nouvelles constatées chaque jour, par la pression que cela exerce sur le fonctionnement des hôpitaux et que le seul moyen de limiter son action, en attendant les effets d'une vaccination massive, qui n'est qu'à ses débuts en France, est le confinement de la population, une solution de moins en moins supportée par celle-ci, sans oublier les conséquences catastrophiques sur notre économie.

Depuis le 3 mai, nos concitoyens peuvent se déplacer librement sur le territoire, en respectant le couvre-feu, qui sera progressivement repoussé avant d'être aboli.

Dans l'immédiat, la population profite de cette première liberté pour prendre l'air en bord de la mer, à la montagne et à la campagne, mais elle n'en profite pas pleinement faute de pouvoir s'asseoir dans un café ou en restaurant qui resteront fermés jusqu'au 9 juin, seule les terrasses en plein air, sont autorisées depuis le 19 mai.

On leur demande de respecter les distanciations et le port du masque, chaque fois que ces compatible avec leur activité, et c'est ici que se présente le risque de la contamination par voie aérienne qu'il est impératif de mesurer avant les déplacements des foules durant les mois d'été qui (vous en avez lu 20%, il reste à lire 80%, de cet article.)

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