De nombreuses filières industrielles craignent de faire les frais des économies budgétaires

D’après le projet élaboré par le gouvernement démissionnaire et laissé en héritage à celui qui finira par prendre sa suite, celui-ci devra trouver 30 milliards d’euros pour équilibrer le budget de 2025, en plus des économies programmées en 2024, et ce sous la forme de nouvelles économies et/ou de recettes nouvelles, c’est-à-dire des impôts et des taxes nouveaux, car les actuels ne rentrent pas, du fait du ralentissement de l’économie.

Le secteur industriel, qui a horreur de ne pas savoir où il va, alerte le gouvernement sur le brouillard stratégique et politique, une situation sur laquelle le gouvernement démissionnaire ne pouvait pas prendre position car elle engage l’avenir, alors que le gouvernement qui lui succédera la lui donnera en dévoilant son programme d’entrée en fonction, sur lequel il sera jugé et qui lui servira à construire le budget 2025, dans le (vous en avez lu 24%, il reste à lire 76%, de cet article.)

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