Bloc-notes du 28 décembre 2010

Bloc-notes du 28 décembre 2010

Diminution du bonus et maintien du malus
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Les automobilistes connaissent de longue date le « bonus-malus » de l'assurance automobile qui module leur prime en fonction des accidents dont ils sont responsables.
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Les pouvoirs publics ont institué, par un décret du 26 décembre 2007, il y a juste 3 ans, un autre bonus-malus automobile destiné à favoriser l'achat de véhicules propres, basé sur leur niveau d'émission de CO2, un bonus pour les uns et un malus pour les autres, en espérant arriver à un budget en équilibre.
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Ils se sont lourdement trompé en enregistrant depuis l'origine une perte de l'ordre de 1,5 million d'euros, soit, en moyenne, 500 000 euros par an.
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Pour mettre fin à cette hémorragie, un décret du 23 décembre 2010 réduit sérieusement, à dater du 1er janvier 2011, le niveau des bonus, sans toucher à celui des malus.
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En même temps, il supprime l'aide de 2000 euros accordée jusqu'à présent pour l'achat d'un véhicule fonctionnant au GPL ou au gaz naturel.
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Sous réserve de confirmation il est question de relever le niveau des malus, dans un an.
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Les aéroports londoniens, sous menace d'amendes
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Sans attendre le retour à la normale, le gouvernement a laissé entendre que les aérodromes londoniens risquent à l'avenir de lourdes amendes s'ils ne disposent pas de moyens suffisants pour éviter la pagaille, suite à des chutes de neige comme celles qui viennent de paralyser l'aérodrome de Heathrow, encore plus lourdement touché que Roissy.
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Des amendes qui pourraient atteindre 63 millions de livres, soit environ 7 millions d'euros.
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Il leur est demande d'accorder, sous peine de sanctions financières, une plus grande importance à la satisfaction des passagers et à la performance de leurs structures.
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Recette des canadiens pour assurer le trafic aérien hivernal
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Renseignement pris, l'aéroport de Montréal dispose du même type de moyens d'intervention que Roissy, sauf qu'ils sont d'une autre dimension, pour pouvoir faire face aux 2,20 mètres de chute de neige annuelle.
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L'aérodrome international Pierre Elliot Trudeau accueille 12,8 millions de passagers par an et doit être en mesure de dégivrer 7000 avions pendant la mauvaise saison.
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Les pistes ne sont pas chauffées mais traitées contre le verglas par l'acétate de potassium avec 110 employés disponibles en permanence, avec des quarts de 12 heures.
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Les engins de déneigement, à la pointe de la technologie, sont d'une dimension permettant de rouvrir une piste enneigée en moins de 30 minutes.
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L'aéroport de Montréal n'est pas un cas unique au Canda.