Dans l'assurance vie en période d'inflation l'immobilier gagne du terrain

L'intérêt croissant pour l'immobilier des épargnants n'a rien de surprenant, car la pierre c'est du solide, que l'on peut toucher, qui ne s'évapore pas, ce qui n'est pas le cas des valeurs mobilières, qui sont des valeurs spéculatives, qui évoluent au gré des cours de Bourse, aux risques et périls de ceux qui les détiennent et encore moins les fonds en euros, qui sont garantis par les émetteurs, sauf leur pouvoir d'achat, car elles sont placées, par la force des choses, aussi en valeurs garantis, en fonds d'Etats.

Les comptes immobiliers proposés aux assurés vie dans le cadre des contrats en unités de compte se divisent en société civiles immobilière, les SCI et en sociétés civiles de placement immobilier, les SCPI, dont le rendement ne dépend pas de leur forme juridique, mais de la nature de leurs placements dans l'immobilier, habitation, commerce, centre commerciaux, en sachant que leurs rendements respectifs découlent des loyers et éventuellement des résultats d'opérations de cession, ce (vous en avez lu 28%, il reste à lire 72%, de cet article.)

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