Dans les zones vulnérables, la population devra s’adapter au changement climatique

Les effets du changement climatique, en cours depuis de nombreuses années, se manifestent progressivement, à commencer dans les régions les plus vulnérables et obligent les habitants, même sans le savoir, à s’y adapter.

Le dernier rapport du Groupe d’experts intergouvernemental, le GIEC de l’ONU, insiste désormais sur de l’adaptation des habitants des zones les plus vulnérables.

Si les travaux des scientifiques recensés par le GIEC se refusent, faute de suffisamment de recul, à établir des liens directs entre les exemples vécus par diverses communautés et les changements climatiques, pour autant, les constats qu’ils dressent sont accablants.

A lire le rapport, l’impact des évènements extrêmes récents tels que les vagues de chaleur, les sécheresses, les inondations, les cyclones ou les incendies révèlent une grande vulnérabilité actuelle du climat, des écosystèmes et des communautés humaines.

La liste des risques évoqués se situe dans la perspective où l’on continue sur la trajectoire du réchauffement actuel qui, selon les scientifiques, pourrait mener, sans renversement de tendance, à une hausse des températures moyennes de 4 degrés d’ici 2100.

Le texte évoque la submersion progressive, des petites îles, les (vous en avez lu 46%, il reste à lire 54%, de cet article.)

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