La crise environnementale devrait normalement conduire à la décroissance de la population

La décroissance que nous visons ici est celle résultant d'un reflex naturel qui se fait jour aujourd'hui, selon lequel le meilleur moyen de protéger la planète est d'être moins nombreux, ce qui n'a rien à voir avec ces pays, dont certains près de chez nous, ont des taux de natalité qui ne permet plus le renouvellement des générations, c'est un problème autre, lié au vieillissement de la population et à leur mode de vie.

Nous n'envisageons pas non plus les conséquences d'un effondrement de notre civilisation, d'un collapsus, un risque évoqué de plus en plus par les experts du climat, si nous ne maîtrisons pas les émissions de gaz à effet de serre, qui se traduirait par un recul plus ou moins brutal de l'espérance de vie de la population, mais du résultat d'une évolution naturelle et voulue.

La terre accueille aujourd'hui plus d'humains qu'elle n'a jamais portés, de 7,7 milliards, elle devrait dépasser 8 milliards en 2022 et atteindre, à ce rythme, 10 milliards en 2050, en sachant que cette progression et inégalement répartie entre les continents et qu'elle est en évolution constante.

Le nombre (vous en avez lu 18%, il reste à lire 82%, de cet article.)

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