Bessé officialise la création d’une équipe dédiée aux solutions Paramétriques

L’exposition aux risques des entreprises est en perpétuelle évolution.

Le caractère systémique d’une économie mondialisée, l’émergence du risque Cyber ou encore l’exposition au réchauffement climatique poussent les entreprises à adapter leurs outils de sécurisation, dont l’assurance est un élément majeur.

D’après la Fédération Française des Assurances (FFA), le risque climatique a couté aux assureurs 2,3 milliards/an de 2000 à 2018, on estime que ce coût sera de 3,7 milliards/an pour les 25 prochaines années, soit une augmentation de 60%. Le cabinet de conseil Mazars rappelle en effet que 80% des entreprises sont météo-sensibles, ce qui représente20 à 30% du PIB des pays industrialisés.

Naturellement, à horizon 5 ans, les Risk Managers dentifient le risque climatique comme le second risque émergeant le plus pesant sur le business model des entreprises derrière le Cyber, avec une probabilité d’occurrence forte et un montant des pertes générées très important.

Si l’assurance traditionnelle reste indispensable, elle ne permet pas (vous en avez lu 14%, il reste à lire 86%, de cet article.)

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