La Banque de Palestine dégage un bénéfice net de 31,7 millions de dollars pour les neuf premiers mois de 2011
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La Banque de Palestine (BoP), banque palestinienne fondée en 1960, a annoncé des bénéfices de 31,7 millions de dollars pour les neuf premiers mois de 2011, comparativement à 27,7 millions de dollars pour la même période en 2010, soit une augmentation de 14 %.
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À la fin du mois de septembre 2011, le total de l’actif de la Banque de Palestine s’élevait à 1,543 milliards de dollars, ce qui la place en tête des sociétés palestiniennes en en termes d’actifs financiers.
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Au cours des 9 premiers mois de 2011, les dépôts ont atteint 1,2 milliards de dollars et le portefeuille de prêt 680 millions de dollars (contre 545 millions de dollars sur la même période de 2010).
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Hashim Shawa, Président et Directeur général de la Banque de Palestine, a déclaré : " Ces résultats financiers impressionnants confirment la croissance continue de la banque, et découlent de notre expansion et de notre prolifération. Comptant 46 succursales, la Banque de Palestine bénéficie toujours de la présence bancaire la plus étendue en Palestine. La banque a également renforcé ses efforts pour attirer de nouveaux clients non seulement en Palestine, mais aussi en dehors du pays, en établissant une unité diaspora dédiée, dont le but est de toucher les Palestiniens dans la diaspora pour leur fournir des services bancaires et de conseils en entreprise. Par ailleurs, au cours des quelques derniers mois, la banque a étendu sa gamme de services en introduisant de nouveaux produits diversifiés tels que la Bancassurance. Au cours de l’année 2011, la banque a installé PalPay, une filiale qui propose des solutions de paiement électronique, permettant le paiement de différentes factures de service public par l’intermédiaire de son réseau de points de vente répartis dans l’ensemble de la Palestine. "
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Au cours de l’année 2011, la Banque de Palestine a entamé la mise en œuvre de la seconde phase de son projet de Gestion des risques opérationnels en coopération avec l’International Finance Corporation (IFC), ouvrant la voie pour devenir la première banque palestinienne à appliquer les normes " Basel II. "