Pourquoi les zones à faibles émissions (ZFE) peinent à convaincre ?

L'échec relatif des zones à faibles émissions (ZFE) s'explique avant tout par les faibles moyens qui leur ont été alloués. Les municipalités ont fini par réaliser qu'à force de laisser entrer dans les centres-villes tous les véhicules, quels que soient leur nature, leur poids ou leur âge, l'air y devenait de plus en plus pollué, et donc de plus en plus dangereux à respirer pour la population. Des mesures ont alors été prises. Des associations se sont emparées du sujet, et de nombreux rapports scientifiques ont circulé pour alerter les élus sur les risques sanitaires liés à la pollution atmosphérique.

Les services de voirie ont analysé les flux de circulation, tandis que des experts ont classé les véhicules en fonction de leur niveau de nuisance. Les zones les plus polluées ont été identifiées comme prioritaires pour restreindre la circulation des (vous en avez lu 22%, il reste à lire 78%, de cet article.)

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