La rencontre de l'Intersyndicale le 5 avril avec la première ministre était prématurée

Le sort de la réforme des retraites est entre les mains du Conseil constitutionnel qui dira le 14 avril s'il juge que la réforme a été adoptée selon des règles conformes à la constitution, ce n'est pas la réforme en tant que telle qui est en cause.

L'intersyndicale voulait parler avec Elisabeth Borne du report de l'âge de départ à la retraite qu'elle avait la charge de défendre, alors qu'elle voulait elle avancer sur d'autres sujets avec les syndicats, qui n'étaient pas venus pour ça.

Après une heure de discussions l'intersyndicale a déploré l'échec, dont elle était certaine par avance pour avoir organisé trop tôt la riposte, (vous en avez lu 18%, il reste à lire 82%, de cet article.)

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