Les universités s'inquiètent des perspectives résultant des études intégralement à distance

Pour des étudiants qui travaillent pour gagner leur vie, il y en a de plus en plus, pouvoir enregistrer les cours, les met sur un pied d'égalité avec ceux qui ont la chance de pouvoir s'asseoir sur les bancs des facultés et qui ne sont pas toujours les meilleurs.

Dans la situation actuelle de la circulation du virus qui ne baisse pas comme attendu, une circulaire ministérielle demande aux établissements d'accueillir des groupes prioritaires de dix étudiants, à charge par les établissements de définir les critères de sélection.

En fait, il s'agit de désigner les publics prioritaires, pour un retour au présentiel, parer ainsi au risque de décrochage, apaiser les inquiétudes des futurs diplômes sur leur avenir professionnel, qu'ils ne sentent pas à l'université.

Cette circulaire ministérielle est arrivée la veille des vacances de Noël, déplore le président d'une université de la région parisienne, précisant (vous en avez lu 30%, il reste à lire 70%, de cet article.)

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