Les sucres cachés dans l'alimentation ultra-transformée affectent notre santé

Alors que nos grands-parents faisaient leurs achats sur les marchés, où ils trouvaient les produits de la saison et les spécialités de la région, ainsi que dans les échoppes des commerçants et des artisans qui proposaient les produits transformés de l'époque, notre génération court les grandes surfaces dont les rayons regorgent de produits ultra-transformés, les AUT prêts à être consommés après juste, pour certains, un court séjour dans un four à micro-ondes.

L'ultra transformation est une notion relativement récente, apparue il y a une dizaine d'années, adaptée au monde moderne, qui ne cesse de gagner du terrain.

Elle a été popularisée par un chercheur brésilien professeur à l'université de Sao Paulo, la capitale économique du pays, qui a mis au point la classification NOVA, définissant les quatre étapes de transformation des aliments servant aujourd'hui de référence.

Tout ce que nous mangeons est transformé, car la transformation est à la base de la cuisine et de la gastronomie, est à la base de la cuisine, les AUT se caractérisent par un degré industriel de déconstruction des aliments, avec une liste d'ingrédients discutables et là, on va trop loin.

Les produits ultra-transformés commencent par les céréales des petits-déjeuners, pour poursuivre la journée avec les gâteaux à grignoter pour l'apéritif, les plats cuisinés préparés, les sauces en conserve, les boissons sucrées, et les soupes en berlingots ou déshydratés.

Les (vous en avez lu 21%, il reste à lire 79%, de cet article.)

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