La dépénalisation du simple usage de la drogue fait son chemin

L'idée de réfléchir à la dépénalisation de la drogue a été lancée il y plus d'un an, conjointement le 27 juin 2017, par l'Organisation mondiale de la santé, l'OMS et l'Office des Nations unies contre la drogue et le crime, l'ONUDC, invitant l'ensemble des Etats membres de l'ONU à mettre un terme à la pénalisation de l'usage de la drogue, qui a fait preuve de son inefficacité.

Elle trouve son origine dans une prise de conscience observée au niveau international, qui se manifeste par une tolérance grandissante du cannabis, qualifié de drogue douce, faute de pouvoir endiguer sa consommation, qu'il faut tenter de contrôler.

L'objectif des agences de l'ONU, qui interviennent sur le sujet, est de mettre en œuvre la cohérence des conventions internationales relatives aux drogues en faisant adopter des règles communes sur un sujet qui divise.

C'est dans la foulée ses recommandations aux Etats membres, qu'un collectif de personnalités issues de la société civile appelle à l'ouverture d'un débat national sur les drogues pour que la France sorte d'une politique essentiellement répressive, qui va de pair avec l'interdiction de la simple consommation.

Si (vous en avez lu 21%, il reste à lire 79%, de cet article.)

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