On reparle de l’exploitation des gaz de schiste sous l’angle de la pollution atmosphérique

Le gaz de schiste est une ressource minière que seul les Etats-Unis exploitent pour le moment, en faisant fi de risques écologiques que présente la fracturation hydraulique, la seule technique connue actuellement.
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Alors que d’autres pays européens s’apprêtent à suivre le même chemin que les Etats-Unis, comme la Pologne qui y voit un moyen de s’affranchir de le dépendance de la Russie pour son approvisionnement en gaz, les pouvoirs publics français campent sur leur refus et rejettent même l’idée de toute expérimentation.


Pendant ce temps, les Etats-Unis ont décidé d’encadrer l’exploitation de leurs gisements de gaz de schiste pour limiter les émissions des gaz à effet de serre, le méthane, issus des puits, de manière à ne plus en rejeter dans l’atmosphère.
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Aujourd’hui, l’exploitation des gaz de schiste, reconnu comme gaz non conventionnel en raison de son mode d’exploitation, se situe au cœur de l’économie de plusieurs Etats américains et y a provoqué une nouvelle ruée vers l’or noir, comme celle du temps de la découverte des premiers gisements de pétrole, à l’origine des grandes fortunes américaines de l’époque.
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Face à cette évolution galopante, l’Environemental Protection Agency américaine, EPA exige la mise en œuvre de premières règles en obligeant désormais les opérateurs à brûler les composés organiques volatiles dégagés par l’exploitation des milliers de puits des gaz de schiste en exploitation.
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Cependant, plutôt que de mettre en place des (vous en avez lu 46%, il reste à lire 54%, de cet article.)

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