Les experts du GIEC sont la hantise des climatosceptiques et des décideurs politique indécis

Un groupe d'experts mondialement reconnu s'est penché sur l'évolution des températures et du climat sur notre planète au cours des 2 000 dernières années, grâce aux moyens de constatation empiriques exploitables, des carottages et les cernes des arbres, en les complétant par les relevés des températures qui se sont multipliés un peu partout, mais depuis seulement au cours des derniers 150 ans.

Leurs travaux ont été reconnus par des experts climatiques du GIEC, qui n'ont pas participé à leurs travaux.

Ils sont arrivés à la conclusion que notre planète est entrée dans une phase de réchauffement naturel ; comme celle que notre planète a connue à de multiples reprises, une évolution lente, qui a commencé par s'accélérer depuis l'arrivée de l'ère industrielle actuelle avec ses émissions de gaz à effet de serre, principalement du CO2, mais pas seulement.

Ces gaz a effet de serre se sont accumulés dans l'atmosphère, au-dessus de nos têtes, en provoquant le réchauffement et le dérèglement climatique, dont nous avons commencé par ressentir les effets sur terre, de plus en plus violemment.

C'est dans ce contexte que l'Organisation des Nations Unis, l'ONU, a mis en place ; en son temps le groupe d'experts intergouvernemental chargé de suivre l'évolution du climat (GIEC), que nous connaissons et de conseiller les gouvernements sur les mesures à prendre, pour y faire face.

Le GIEC, auquel 195 gouvernements participent possède trois groupes de travail, chacun chargé de l'une des trois parties des études donnant lieu à ses rapports successifs :
- Les fondamentaux physiques des changements climatiques ;
- Les (vous en avez lu 24%, il reste à lire 76%, de cet article.)

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