Les courtiers en assurances sont optimistes

APRIL a publié, pour la deuxième année, son baromètre sur le métier de courtier de proximité en assurance.
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Cette année, APRIL a souhaité l'enrichir d'une vision consommateurs en interrogeant plus de 1 000 Français sur leur vision de cette profession.
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Il ressort que les Courtiers en assurances sont optimistes, 75% estiment que la profession se porte bien. 62% d'entre eux pensent même que le marché du courtage va connaître une croissance dans les trois ans à venir et 50% espère accroitre son chiffre d'affaires.
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Mais tout n'est pas rose, et il ressort de ce baromètre que, les courtiers ressentent les effets négatifs de la crise, en particulier dans l'évolution du comportement du client (27% des Français déclarent en effet comparer systématiquement avant de souscrire une assurance).


Les quatre principales menaces sont pour 71% des courtiers la volatilité des consommateurs, pour 64% la montée en puissance de la bancassurance, pour 57% internet et pour 56% la réglementation européenne.
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Malgré cela, la profession reste attractive, plus d'un tiers des courtiers ont recruté de nouveaux collaborateurs sur les 3 dernières années.
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Mais la profession de Courtier est confrontée à de nouveaux enjeux : fidéliser ses clients et développer l'usage des nouvelles technologies
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La fidélisation devient, pour les courtiers, une véritable priorité. 82% indiquent vouloir travailler leur portefeuille et notamment le multi-équipement de leur client.
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Mais cela passe, aussi, par l'usage des nouvelles technologies : site internet, réseaux sociaux, blogs, tablettes numériques, etc.
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Pourtant, pour le moment les courtiers ne sont que (vous en avez lu 70%, il reste à lire 30%, de cet article.)

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