Face à la protection des baleines, la Norvège fait bande à part

Au moment où la Cour Internationale de justice, la CIJ ordonne au Japon de stopper la chasse à la baleine, la Norvège qui ne s’estime pas tenue, comme l’Islande, par le moratoire international de 1986, a fixé à 1 286 le nombre de baleines susceptibles d’être harponnées dans ses eaux territoriales, entre le 1er avril et le 30 septembre 2014.

Dans les capitales respectives, Oslo et Reykjavik de ces deux pays, pratiquant la chasse commerciale à la baleine, ils ot jugé que la population des espèces chassées est suffisamment abondante.

C’est une question à approfondir, celle de la comparaison des espèces que la CIJ s’efforce de protéger et celles des espèces chassées en Norvège et en Islande.

Il faut attendre la réponse des experts, en la matière, avant de déclencher une guerre de la chasse à la baleine qui, peut être, n’a pas de raisons d’avoir lieu.

Une chose est centaine, il ne s’agit pas des mêmes espèces de baleines, que celles qui évoluent dans les eaux de l’Antarctique.

Le quota norvégien est le même qu’en 2013, que les baleiniers norvégiens ne parviennent plus à remplir, bien que la ministre de la pêche, Elisabeth Aspaker affirme avoir décidé d’un quota qui assure un continuité et un cadre satisfaisant pour le secteur.

Alors que le non respect du moratoire par le Japon a pour cause le (vous en avez lu 51%, il reste à lire 49%, de cet article.)

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