Il y a des leçons à tirer de la disparition du vol MH370

Une fois que le vol MH370 de la Malaysia Airlines, parti de Kuala Lumpur avait disparu des écrans radars et que son équipage avait cessé de se manifester, aucun moyen actuellement installé sur les avions permet de suivre son parcours, alors que des solutions techniques existantes auraient pu permettre de le suivre.

Pour cette raison, l’Association du transport aérien antinationale, l’IATA, entend améliorer le suivi des avions en vol.

Alors que les recherches au-dessus de l’océan Indien, dans lequel le Boeing de la Malaysia s’est abimé ne progressent pas, les différentes institutions internationales du transport aérien ont annoncé la création d’un groupe de travail consacré aux moyens d’améliorer, en toutes circonstances, le suivi des avions en vol.

La disparition du vol d’Air France, parti de Rio pour Paris avait illustré le problème, mais rien n’avait été fait depuis, alors que cette fois-ci, l’IATA a décidé d’aller de l’avant.

La possibilité de localiser un avion en temps réel n’est pas un sujet nouveau, alors qu’en 2011 un rapport due BEA français sur le crash du RIO-PARIS , préconisait déjà la (vous en avez lu 44%, il reste à lire 56%, de cet article.)

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