La Chine face au défi de la pollution atmosphérique

En Chine, 74 villes doivent, depuis janvier 2013, publier en temps réel, leurs relevés de pollution atmosphérique.

Les habitants peuvent, sur leur téléphone portable, connaître chaque matin l’indice de qualité de l’air qui est très souvent, pour ce qui est des particules fines, au dessus de 300 microgrammes, un seuil qualifié de pollution grave, sans parler des pointes, deux fois plus importantes.

Rappelons que les préconisations sont de 25 microgrammes par l’Organisation mondiale de la santé, l’OMS.

Les autorités locales sont impuissantes face à cette situation et ne disposent que de moyens de lutte contre la pollution, dérisoires.

Ainsi, dans une ville minière, lorsque la pollution grimpe au niveau d’alerte, les employés municipaux pulvérisent de l’eau le long des routes, pour maintenir la poussière de charbon, qui tombe au passage des véhicules non bâchés, au sol.

Lorsque le nord de la Chine est placé sous un brouillard épais, les autorités n’ont pas de parade et, contrairement à ce passe chez nous, il ne suffit pas d’attendre un (vous en avez lu 51%, il reste à lire 49%, de cet article.)

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