Perspectives d’exploitation des gaz de schiste par une méthode autre que la fracturation hydraulique

Rappelons que ce ne sont pas les activités de recherche et l’exploitation de gisements d’hydrocarbures liquides et gazeux de schiste qui ont été interdites par la loi, du 13 juillet 2011, mais la technique de la fracturation hydraulique.

D’ailleurs, les titulaires des titres miniers délivrés avant l’interdiction de la fracturation hydraulique, avaient un court délai pour présenter une autre technique, pour éviter l’annulation de leurs de leurs titres miniers.

C’était une proposition de diversion car à cette l’époque, personne n’était en mesure de présenter une autre technique, que celle de la fracturation hydraulique.

Cependant, toutes les entreprises pétrolières connaissaient la fracturation hydraulique pour l’utiliser, sur une petite échelle, afin de stimuler des gisements traditionnels anciens de manière à relancer leur potentiel de production, sans provoquer de catastrophe minière pour autant.

Alors que des experts français voudraient (vous en avez lu 38%, il reste à lire 62%, de cet article.)

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