L’OMS dénonce les méfaits pour la santé des particules fines

Selon l’Organisation mondiale de la santé, l'OMS, la pollution de l’air en milieu urbain serait responsable de 1,3 million de décès par an, dans le monde.

Ce sont les particules fines, en suspension dans l’air qui ont l’impact le plus lourd, sur la santé, même à des concentrations faibles.

Selon des études scientifiques, les polluants atmosphériques sont associés à divers effets nuisibles sur la santé.

L’OMS a classé la pollution atmosphérique « cancérigène certaine » en octobre 2013, une catégorie dans laquelle figure notamment le tabagisme, ou encore l’amiante.

Les risques principaux sont avant tout respiratoires comme les crises d’asthme, la broncho pneumopathie, mais aussi les risques cardio-vasculaires.

Selon l’étude européenne Aphékom, publiée en 2012 sur la base de 9 villes française comptant 12 millions d’habitants, la pollution atmosphérique réduit de 3,6 à 7,5 mois l’espérance de vie (vous en avez lu 39%, il reste à lire 61%, de cet article.)

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