Orange ne maîtrise pas le risque d'une panne des services téléphoniques d'urgence du pays

Le 2 juin, aux environs de 18 heure, les numéros d'appel d'urgence à deux chiffres, branchés sur un même réseau sont devenus inaccessibles, sans solution de rechange immédiate, on ne pouvait plus joindre, ni le SAMU, ni les pompiers, ni la police.

Comme on sait que le risque zéro n'existe pas, depuis le temps que l'on nous le serine, les entreprises font appel à la technique du « riskmanagement » pour maitriser les risques auxquels leur activité les expose.


En l'occurrence, Orange aurait dû disposer d'un réseau de secours, sur lequel basculer automatiquement le réseau en cas de panne de celui qui assure en temps normal tout le service.

S'agissant d'un service public confié à un prestataire de services privé, le ministère de l'intérieur en charge de la sécurité aurait (vous en avez lu 25%, il reste à lire 75%, de cet article.)

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