Le régime islandais de la pêche devrait servir de modèle dans l’Union européenne

Lorsque l’on parle des pêcheurs d’Irlande, on pense d’abord au roman de Pierre Loti, qui a familiarisé des millions de lecteurs avec la vie des pêcheurs, avec les incertitudes et les risques de leur métier.

L’Islande est un Etat insulaire, tourné vers la mer, d’où l’importance accordée à son industrie de la pêche.

Alors que la négociation annuelle des quotas de pêche dans l’Union européenne mettent régulièrement le monde de la pêche en émoi, en France comme en Espagne en Irlande et en Ecosse, en opposant les pêcheurs aux associations d’écologistes, en Islande les choses se passent bien.

Dans ce pays, la politique des quotas est conçue pour préserver les ressources halieutiques, elle est comprise, jusqu’à être populaire chez les pêcheurs du pays.

Chaque bateau de pêche islandais a reçu un quota de cabillaud correspondant à la moyenne de ses prises des trois années précédentes et il peut augmenter ou diminuer chaque année, en fonction de l’estimation des réserves.

Les pêcheurs sont propriétaires de leurs quotas respectifs et peuvent les (vous en avez lu 51%, il reste à lire 49%, de cet article.)

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