La bataille juridique des voies sur berges à Paris a été gagnée par la Mairie

Maintenant, une chose est certaine, les voitures ne reviendront pas sur les berges de la Seine, fermées définitivement à la circulation automobile depuis 2016, rendus aux piétons qui doivent la partager avec les vélos, les rollers, les trottinettes électriques et autres engins du même acabit, inventés pour les femmes et les hommes qui aiment mieux rouler que marcher, une nouvelle calamité, dont il faudra régler la cohabitation, avant que cela ne tourne au cauchemar pour les piétons.

C'est du travail pour les crânes d'œufs de la Mairie, qui ont dû se prendre à deux fois pour éliminer les voitures d'une première portion des quais bas de la ville, pour favoriser la promenade des piétons.

La Maire Anne Hidalgo avait sous-estimé, à l'époque la pugnacité de la présidente de la région Ile de France, Valérie Pécresse d'un autre bord politique qu'elle, qui voulait conserver pour ses administrés le droit, bien pratique pour eux, de (vous en avez lu 33%, il reste à lire 67%, de cet article.)

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