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Chaque année, à l'occasion des discussions autour de la loi de finances, revient la question sensible de « l'impôt confiscatoire ». Ce terme, souvent brandi par les milieux économiques et politiques, désigne la crainte qu'une fiscalité trop lourde décourage l'investissement ou pénalise excessivement certaines catégories de contribuables. Mais derrière le mot se cache un enjeu plus vaste : celui de la justice fiscale et du financement des politiques publiques dans un contexte budgétaire tendu.
Un Etat aux besoins croissants et aux marges limitées
L'État, pour fonctionner, a besoin de ressources considérables. Il doit rémunérer ses fonctionnaires, financer ses politiques publiques, soutenir les secteurs en difficulté, honorer ses engagements et répondre à des crises imprévues. Ses marges de manœuvre se réduisent pourtant d'année en année, une fois (vous en avez lu 19%, il reste à lire 81%, de cet article.)
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