Avant la fin de son mandat le président de la République veut mettre sur les rails la réindustrialisation de la France

Faute de pouvoir lancer de grandes réformes les derniers mois de son mandat, avant la campagne électorale, ce seront vraisemblablement les investissements dans l'industrie.

C'est un sujet fédérateur car au terme de dix-huit mois de pandémie qui l'auront empêché d'aller au bout de son agenda politique, il a annoncé le 12 juillet, après avoir détaillé pour l'immédiat le pass sanitaire, en relation avec la vaccination, l'étude d'un plan d'investissement qui visera un objectif de bâtir la France de 2030 et faire engager notre pays afin d'être, avec l'Europe, le champion de demain qui, dans les domaines du numérique, de l'industrie verte, des biotechnologies ou encore de l'agriculture, en dessinant notre avenir.

Le pari consiste à mettre en scène le grand retour de la souveraineté industrielle, la Covid-19 ayant révélé la dépendance du pays à l'égard de l'étranger comme les semi-conducteurs ou la santé.

Il y a la volonté de renforcer notre autonomie, notre indépendance et de se projeter dans des filières d'avenir confirme-t-on à l'Elysée, dans (vous en avez lu 28%, il reste à lire 72%, de cet article.)

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