La course à contretemps après les richesses pétrolières de l'Arctique semble se poursuivre

Alors que la lutte contre le réchauffement climatique passe par la réduction drastique de l'utilisation des énergies fossiles, notamment les hydrocarbures, devant allant jusqu'à leur future mise hors la loi, les pays riverains de l'Arctique, veulent à tout prix obtenir de l'ONU des droits souverains très au-delà des 200 miles nautiques, qui sont les normes internationales, pour pouvoir extraire celles supposées s'y trouver.

Même si les conditions climatiques, malgré la fonte des glaces, rendent toujours les recherches et les exploitations pétrolières dans l'Arctique hypothétiques et coûteuses, un tel pactole ne peut laisser indifférent personne, même si un jour, prévisible, il aura perdu toute sa valeur.

Dans ce contexte, la Russie affiche son ambition de devenir une grande puissance polaire, en ranimant notamment les anciennes bases soviétiques et ce, sous prétexte de (vous en avez lu 30%, il reste à lire 70%, de cet article.)

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