La négociation de l'après-Brexit avec la Grande Bretagne s'annonce plus difficile qu'attendue

Depuis la sortie de la Grande Bretagne de l'Union Européenne, le premier mois de la période de transition s'achève alors que rien ne s'est passé et que le Premier ministre britannique, Boris Johnson donne l'impression de ne pas vouloir aboutir à l'accord qui doit régler les relations de son pays avec l'Union Européenne, à partir du 1er janvier 2021.

Michel Barnier, le chef négociateur de l'Union Européenne estime que le délai imparti, vu le nombre de dossier à régler, est trop court, mais comme Boris Johnson n'envisage pas de le prolonger, il faut s'attaquer immédiatement aux plus importants.

Pour lui, « c'est le choix du gouvernement britannique, pas le nôtre, on fera le maximum, mais on ne pourra pas tout faire ».

Or, les discussions à venir s'annoncent très tendues car Boris Johnson refuse tout alignement réglementaire avec l'Union Européenne, qui doit être l'épine dorsale de l'accord, ce qui fait que les vingt-sept savent que leur position de départ est très éloignée, voire incompatible, avec (vous en avez lu 31%, il reste à lire 69%, de cet article.)

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