Un statut européen des cigarettes électroniques finira par s’imposer

En Europe, les pouvoirs publics ont été pris de court par le succès rapide des cigarettes électroniques, alors qu’elles se présentent, de plus en plus, comme un substitut au tabac, qu’il faut clarifier.

Il en est de même en France, où on s’est demandé s’il s’agissait d’un médicament de sevrage tabagique, comme un patch nicotinique, pour arriver à la conclusion qu’elle ne rentre pas dans l’une des catégories des substances existantes et qu’elle pouvait être utilisée et commercialisé, comme tout autre produit non prohibé.

Pour les spécialistes de la santé publique, la cigarette électronique reste en France un produit hybride qui n’est pas recommandé comme un outil d’aide à l’arrêt de fumer, car son efficacité et sont innocuité n’ont pas été suffisamment évalués.

Cependant, selon la Haute autorité de la santé, la FIAS, son utilisation ne doit pas être découragée chez le fumeur qui veut s’arrêter de fumer du tabac.

Pour Marisol Touraine, vapoter est mieux que de fumer une cigarette, mais mieux vaut s’abstenir des deux.

Notons, que certains non-fumeurs qui font un essai de la cigarette électronique, en deviennent – parfois – des utilisateurs réguliers. Passer de (vous en avez lu 40%, il reste à lire 60%, de cet article.)

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