La quête de transparence dans l’ère de l’Intelligence Artificielle Générative (IAG)

Le secteur de la culture réclame une réelle transparence des données utilisées par les IA génératives, par crainte d'être pillé. Quand on demande à l'IA de faire une recherche, de faire une étude, elle s'inspire, comme les humains, de ce qui existe, en ayant accès aux fichiers, seulement elle le fait plus vite et de manière plus exhaustive qu'un humain peut le faire.

Toutefois, il faut lui dire ce qu'on attend d'elle, de la même manière qu'à un collaborateur. Si on le lui a mal expliqué, son travail, qu'il faut relire, est à refaire. On ne lui demande pas de plagier une œuvre existante, mais on peut trouver dans ce qu'elle écrit des citations et des références, comme peuvent le faire les humains.

S'il s'agit d'informations qui appartiennent à tout le monde ou de réflexions destinées au public, qu'on est en droit de citer, ce n'est pas du plagiat. Certes,(vous en avez lu 23%, il reste à lire 77%, de cet article.)

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