A Varsovie, adoption, in extremis, d’un accord conclu en 2009

Pour ne pas partir les mains vides de Varsovie, les délégués sont finalement parvenus à un accord samedi, en fin de journée, après la clôture officielle de la conférence.

Ils ont abordé l’un des sujets les plus délicats, qui risque de faire échouer en 2015 la conférence, de Paris si aucune solution n’est pas trouvée d’ici-là, dans l’esprit de ce qui a été acté à Copenhague en 2009.

Il s’agit de trouver un équilibre entre les exigences des pays en développement, qui demandent aux pays inutilisé de faire face aux engagements financiers pris en 2009 et les moyens de ceux-ci dans la conjoncture actuelle.

A Varsovie, les pays en développement ont dénoncé les promesses non tenues depuis 2009 par les pays industrialisés, de mobiliser, 100 millions de dollars par an, à partir de 2020 et à créer d’ici là un Fonds verts pour leur gestion.

Trente (vous en avez lu 33%, il reste à lire 67%, de cet article.)

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