Face à la pandémie qui s'étend la Haute Autorité de santé recommande d'intensifier la vaccination

Force est de constater que le vaccin le plus utilisé dans le monde, le Pfizer-BioNTeche à base d'ARN messager perd rapidement de son efficacité et que les progrès attendus ne se réalisent pas, que le vaccin est toujours le même, d'où la recommandation d'injecter, à titre de rappel, une troisième dose, sensée en améliorer l'efficacité, tout au moins pendant un certain temps.

La seule chose dont on est aujourd'hui certain, ce que le Laboratoire américain Pfizer avec son partenaire allemand BioNTech est organisé pour faire face à la demande de vaccin à laquelle il faut s'attendre.

Alors qu'en France l'injection de la dose de rappel était limitée aux plus de 65 ans, mis à part les personnes fragiles, sans conditions d'âge et que l'on attend une extension progressive, aux plus de 50 ans pour un premier temps, la Haute Autorité de santé, la HAS recommande une dose de rappel pour tous les adultes de plus de 18 ans, un rappel vaccinal qui doit avoir lieu 5 mois après la dernière dose, pour en améliorer l'efficacité et non plus après 6 mois.

La HAS, dans son avis considère que le contexte épidémique préoccupant justifie une accélération de la campagne vaccinale en raccourcissant le délai entre la primo-vaccination et la dose de rappel en insistant sur la nécessité de renforcer (vous en avez lu 42%, il reste à lire 58%, de cet article.)

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