Les Allemands ont fini par admettre la dangerosité de leurs centrales au charbon

Après avoir condamné, en réaction à la catastrophe de Fukushima, brusquement et contre toute attente, la moitié de leur parc nucléaire, il a bien fallu compenser la perte de production d'électricité, par de nouvelles centrales thermiques.

Comme le parc nucléaire allemand n'est pas comparable, du point de vue de sa capacité de production au parc nucléaire français, ce qui fait que les grands énergéticiens allemands ont, de tout temps, assuré le gros de leur production par des énergies fossiles et plus particulièrement par des lignites, le « charbon brun », qui se classe entre la houille et la tourbe.

Disponible en grande quantité dans le pays et peu onéreux, il est exploité dans des gisements à ciel ouvert, un peu comme la tourbe.

Pour rationaliser leur exploitation, les énergéticiens ont installé les centrales thermiques aux pieds des gisements de charbon brun et ouvert de nouvelles exploitations, directement équipés de centrales thermiques, pour compenser la (vous en avez lu 38%, il reste à lire 62%, de cet article.)

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