On ne sait plus quoi penser de la dangerosité des OGM dans nos assiettes

Alors que les OGM sont probablement plus ou moins présent dans tout ce que nous consommons, le professeur Gilles-Eric Séralini a jeté un pavé dans la mare en présentant une étude concluant à la toxicité du maïs transgénique NK603 de Monsanto.
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Malheureusement, faute de moyens, il ne s’est pas entouré des précautions scientifiques nécessaire pour retoquer les critiques auxquelles il devait s’attendre et qui n’ont pas manque de surgir immédiatement.


N’oublions pas que le public a gardé en mémoire les photos montrant des rats boursouflés de tumeurs cancéreuses après avoir ingéré pendant deux ans du maïs NK 603, qui illustrent l’étude présentée par le professeur Séralini, qui ont de quoi inquiéter les plus avertis.
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Rappelons enfin que l’étude a été réalisée par l’équipe du professeur Séralini, lui-même biologiste à l’Université de Caen, ce qui lui confère, à priori, un minimum de crédibilité scientifique.
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Les premiers à réagir ont été les instances gouvernementales, en particulier Delphine Batho, ministre de l’Ecologie qui confère à l’étude Séralini le (vous en avez lu 38%, il reste à lire 62%, de cet article.)

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