Le report des J.O. de Tokyo a fini par s'imposer

Après des semaines de résistance et après consultation des comités olympiques nationaux, le report des jeux c'est imposé au CIO et au gouvernement japonais, qui comptait sur les J.O. pour relancer l'économie du pays, en difficulté.

Dans un entretien avec la presse, le doyen du CIO a admis que le report des J.O. à l'été 2021 était la seule option possible, avant que le président du CIO ait admis clairement que la flamme olympique qui venait d'arriver à Tokyo n'entrerait pas, le 24 juillet prochain au stade de Tokyo, où tout était prêt pour la recevoir, c'était difficile à accepter.

Devant les dernières hésitations, des comités olympiques nationaux comme ceux du Canada, d'Australie, du Royaume Uni et bien d'autres, ont annoncé leur intention de boycotter les jeux s'ils n'étaient pas annulés ou reportés et la fédération internationale d'athlétisme, la plus importante des fédérations a rendu public sa lettre, réclamant un report.

Depuis des semaines, le président du CIO qui siège à Lausanne, voulait rester maître du calendrier et gagner du temps pour trancher le plus tard possible, alors (vous en avez lu 33%, il reste à lire 67%, de cet article.)

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