Optimisme en berne des Directeurs Financiers

Deloitte présente les résultats de la première édition de son baromètre d’opinions des directeurs financiers 2012 : « Vers un repli stratégique faute de mieux ? ».
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Etude quantitative articulée autour des thèmes suivants : Perspectives économiques et financières / Compétitivité en France / Financement et liquidités / Fusions, acquisitions et cessions / Risques et perspectives / Défis des Directeurs Financiers
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Etude réalisée en septembre 2012 auprès de 70 Directeurs Financiers d’entreprises françaises ou de filiales françaises d’entreprises étrangères représentatives de l’ensemble des secteurs de l’économie. L’échantillon est significatif et représentatif compte tenu de la technicité et des spécifiés des profils recherchés dans le cadre de l’étude.


Harris Interactive a assisté Deloitte dans l’administration des questionnaires, le recueil téléphonique (CATI) de toutes les réponses et a contribué à l’analyse et la restitution des résultats de ce premier baromètre.
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Les secteurs d’activité représentés par les répondants sont : Industrie chimique/pharmaceutique / Industrie agroalimentaire / Industrie automobile, aéronautique et matériel agricole / Banque, assurance, finance / Informatique, télécoms, high-tech / Construction, BTP, Immobilier / Conseil audit et bureaux d’études / Commerce distribution, négoce / Médias, Edition et communication / Hôtellerie, restauration, tourisme, loisir / Transports, manutention, logistique
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Il ressort que 56% des CFO (chief financial officer – Directeurs Financiers) sont pessimistes, ou, au mieux, attentistes pour 37%, à l’égard de la conjoncture française.
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Ce pessimisme est en ligne avec la morosité des perspectives mondiales, où la France (1%) et l’Europe (6%) sont clairement hors de la croissance, très loin derrière l’Amérique de Nord (37%) et du Sud (30%), elles-mêmes ne réalisant pas des scores très élevés.
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Pour 70% des CFO ayant répondu, la coordination des politiques économiques européennes, mais également la croissance des pays émergents pour 41% sont des facteurs d'optimisme.
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A contrario leur pessimisme est renforcé pour 57% à cause de la situation économique, pour 40% à cause des politiques fiscales et sociales européennes et pour 33% à cause du (vous en avez lu 34%, il reste à lire 66%, de cet article.)

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