Le doute s'est installé sur les moyens de l'Iran de contrer la pression américano-israélienne

Acculée militairement depuis le bombardement de son territoire par l'aviation américaine, décidé par Donald Trump qui assure avoir agi pour arrêter la guerre en ordonnant le bombardement des trois sites nucléaires, alors qu'une majorité d'Américains, y compris dans son parti, y sont hostiles à un nouveau conflit.

Avant même que les conséquences des frappes aériennes ne puissent être évaluées sur le terrain, les autorités américaines ont orchestré une vaste opération de communication autour des bombardements menés le 21 juin contre trois installations clés du programme nucléaire iranien : Natanz, Ispahan et Fordo. Le président Donald Trump, dans une allocution solennelle, n'a pas hésité à qualifier l'opération de « succès militaire spectaculaire », saluant une démonstration de force exemplaire. Dans la foulée, le chef d'état-major des forces armées a livré les détails d'une mission d'une rare complexité, préparée (vous en avez lu 17%, il reste à lire 83%, de cet article.)

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