L’Australie compromet par ses livraisons de charbon la Grande Barriere de Corail

Pour produire l’électricité dont ils ont besoin, les Etats doivent se tourner, en attendant le développement des énergies renouvelables, vers les énergies fossiles, pétrole, gaz naturel et charbon, en dépit de la pollution atmosphérique provoquée par leur combustion et notamment par celle du charbon.

L’énergie nucléaire, qui devait assurer la soudure, a perdu les faveurs du grand public, traumatisé par les catastrophes de Tchernobyl en Ukraine et plus récemment par de celle de Fukushima au Japon.

Parmi les énergies fossiles, le charbon, dont la combustion est la plus polluante, est disponible en grande quantité, notamment en Australie, mais pas seulement.

Pour être en mesure d’exporter son charbon, l’Australie a décidé de se doter d’un terminal portuaire, destiné à devenir l’un des plus grands du monde.

Son projet d’extension, à cet effet du Port d’Abott Point dans l’Etat du Queensland dans le nord-est du pays, vient d’être condamné par l’Unesco.

L’Unesco s’inquiète particulièrement du développement côtier du Queensland, au large duquel s’étend 348 000 km 2 du récif corallien.

Le chantier portuaire doit entrainer le déversement sur le site de la Grande Barrière de Corail, 3 millions de mètres cubes de sédiments, sans que d’autres (vous en avez lu 50%, il reste à lire 50%, de cet article.)

…

Cet article est réservée aux abonnés à RiskAssur-hebdo Privilège

Vous êtes déjà abonné, pour vous identifier, cliquez ici

Abonnement en ligne
Abonnement 12 mois pour 504 euros ttc, en cliquant ici
Abonnement 1 mois pour 56,40 euros ttc, en cliquant ici
Essayer RiskAssur PRIVILEGE pour seulement 15 euros, vous donnant acces a l'integralite des archives (plus de 35 000 articles) : cliquez ICI