L’impact du réchauffement climatique sur le trafic ferroviaire

Pour la SNCF, il s’agit de préparer l’adaptation aux normes prévisibles à l'horizon 2050 de son réseau ferroviaire, tout en faisant face à l’incidence du dérèglement climatique, sur le trafic actuel.

Pour elle, il faut prendre des maintenant les décisions qui s’imposent et, pour ce faire, une vingtaine de personnes de différents métiers, des ingénieurs, des exploitant et maints autres réfléchissent sur les conséquences changement climatique, sous la direction d’Alexandre Kaddouri, chef projet climat-énergie à la SNCF.

Les questions, aujourd’hui sans réponse, qui viennent à l’esprit sont multiples, résistance des installation, du matériel et flux de voyageurs.

Les questions qui se posent sur le plan matériel sont celles de l’étendue des voies inondables et la tenue du matériel exposé aux températures extrêmes, en se référant au seul élément connu en France, les effets de la canicule de 2003.

En premier lieu, la SNCF doit sécuriser son réseau actuellement vulnérable aux risques d’inondation et de submersion.

Selon une estimation de 2009 du ministère du Développement durable de l’époque, 1967 Km de voies ferrées sont « à risques » de submersion temporaire, voire définitive, en cas d’une hausse d’un mètre du niveau marin, contre 355 km d’autoroutes et 4 338 km de routes départementales.

Côté matériel, désormais, les installations nouvelles, à mettre en (vous en avez lu 64%, il reste à lire 36%, de cet article.)

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