L'économie circulaire ou comment donner une seconde vie aux objets usagés Article lu 16758 fois, depuis sa publication le 22/11/2019 à 08:12:24 (longueur : 6165 caractères)
L'économie circulaire consiste, comme cela se fait trop encore trop souvent, de ne pas abandonner dans la nature un objet usagé ou démodé, dont on ne veut plus où de l'envoyer à la décharge, pour être incinéré ou enterré, de lui trouver une nouvelle destination et, si n'est pas possible, en tant que tel, ou au moins de récupérer les matières encore utilisables, qui le composent.
Effectivement, l'économie circulaire ne consiste pas uniquement à recycler les matériaux composant les objets jetés, mais aussi remettre ce qui peuvent être utilisés.
De là est née une nouvelle activité, que l'on ignorait du temps des trente glorieuses, le tri sélectif, pratiqué progressivement partout France, en remplaçant la poubelle unique, par au moins deux poubelles, dont une destinée au tri sélectif de son contenu.
Des conteneurs sur la voie publique sont à la disposition du public, notamment pour le verre et pour le papier dont l'utilisation exige un minimum d'effort, mais surtout de la bonne volonté.
Aujourd'hui, alors que les ressources naturelles s'épuisent, que notre planète croule sous les déchets, que les pays industrialisés en exportent par navires entiers, à grands frais, en direction des pays en développement, qui commencent par nous les retourner ne sachant qu'en faire, nous devons faire « plus et mieux avec moins » c'est ça la finalité de « l'économie circulaire ».
A côté des menus objets, qui partent à la décharge, alors que beaucoup d'entre eux devraient être repris par le fournisseur d'un objet neuf, financé par une « écotaxe » payée par le client au moment de l'achat, mais il y a souvent de bonne raison, d'ordre pratique pour que cela ne se passe pas comme ça, et qu'un objet encombrant, trop grand pour partir à la décharge, devienne justiciable de la déchèterie qui peut, si elle est bien organisée pour lui donner sa chance, pour une seconde vie.
Pour les prendre en charge, les collectivités locales ouvrent des « déchetteries » également accessibles aux artisans qui peuvent, moyennant une redevance, y apporter des objets recueillis sur les chantiers, d'où leur enlèvement fait partie de leurs prestations contractuelles.
Le hasard fait que c'est dans la ville d'Orléans (vous en avez lu 36%, il reste à lire 64%, de cet article.)
…
Cet article est réservée aux abonnés à RiskAssur-hebdo Privilège Vous êtes déjà abonné, pour vous identifier, cliquez ici
|
Sommaires
de RiskAssur-hebdo
Pour vous abonner
au magazine RiskAssur-hebdo
cliquez ICI
11/09/2025 à 10:38:59 Numéro 850 de RiskAssur-hebdo du vendredi 12 septembre 2025 Edito
- Trêve estivale : quand les ambitions présidentielles s'affichent au grand jour (Erik Kauf)
Commentaire
- Dans les zones menacées par les incendies de forêts, la solution passe par le débroussaillage (Erik Kauf)
Tribune
- Orias : un m... 04/09/2025 à 10:31:26Numéro 849 de RiskAssur-hebdo du vendredi 5 septembre 2025 Edito
- État des échanges entre l'Union européenne et les États-Unis avant la hausse des droits de douane de 15 % (Erik Kauf)
Commentaire
- Montmartre sous pression : quand les habitants se sentent envahis par les touristes (Erik Kauf)
Enquêt...
|
Plus
de titres
A la une
948 lectures - publié le, 16/09/2025 à 09:06:37
901 lectures - publié le, 16/09/2025 à 08:13:02
863 lectures - publié le, 16/09/2025 à 07:53:13
810 lectures - publié le, 16/09/2025 à 07:39:46
911 lectures - publié le, 16/09/2025 à 07:21:19
|
|
|