A la recherche de la vérité sur le Mediator

Le Mediator a été retiré de la vente en France en 2009, après avoir été prescrite comme coupe faim à un nombre incalculable de personnes en surpoids, alors qu’il avait été mis sur le marché, après homologation pour le traitement des diabétiques en liaison avec un problème de surpoids.
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Personne n’a protesté et les Laboratoires Sevier ont bénéficié d’un effet d’aubaine, en voyant s’envoler les ventes de leur médicament, destiné à l’origine à une clientèle, nombreuse mais circonscrite.


Pour être retiré de la vente, le Mediator a été soupçonné d’avoir pu être à l’origine de graves troubles cardiaque, au point d’entrainer la mort de 500 à 2000, un chiffre avancé mais jamais scientifiquement établi.
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Les pouvoirs publics, pour faire face aux milliers de demandes d’indemnisation pour troubles cardiaques graves, qui s’en sont suivi a mis en place une procédure publique d’indemnisation confiée à l’Oniam, en attendant de voir reconnu la responsabilité des Laboratoires Servier, à l’origine de ce supposé scandale médical.
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De plus, il est prudent d’avancer sur cette affaire sur la pointe des pieds, car les premières études des quelques milliers de réclamations déposées par des plaignants, effectuées par les experts mandatés par les pouvoirs publics, n’ont pas (vous en avez lu 47%, il reste à lire 53%, de cet article.)

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