Les citadins sont plus exposés aux canicules que les habitants de la campagne

Le bâti des agglomérations forme des îlots de chaleur qui accentuent localement le réchauffement de la planète.

Les agglomérations les plus densément peuplées risquent de subir, selon les estimations des chercheurs des hausses de températures très élevées, jusqu'à 8 degrés, d'ici à la fin de ce siècle.

Ceci explique, qu'en ces jours de canicule en France, les températures les plus élevées s'enregistrent à Paris et qu'elles baissent à fur et à mesure que l'on s'éloigne de la capitale, sans atteindre, pour le moment, un écart aussi important que celui que les chercheurs prévoient pour la fin du siècle, ces terribles 8 degrés.

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