La France est confrontée au fardeau des déchets nucléaires

L'un des deux centres de stockage en mesure d'accueillir 90 % des déchets radioactifs courants est saturé et le second est en cours de remplissage quant aux 10 % restants, les plus dangereux, à stocker pour l'éternité, ils sont dans des entrepôts provisoires, en attendant que leur stockage définitif, auquel on travaille et dont on parle régulièrement, soit établi, accepté par la population et agrée par l'Autorité de sécurité nucléaire, qui a le dernier mot.

La France, en créant l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs, l'Andra, c'est doté de la structure technique et administrative nécessaire à l'établissement dans un premier temps du stockage des résidus de faible et moyenne intensité, à vie courte, mais qui resteront radioactifs, tout de même plusieurs siècles.

Sur ces sites, les déchets radioactifs produits chaque année en France arrivent par camions, déchargés de leur lot de matériel contaminé, provenant des réacteurs d'EDF, (vous en avez lu 32%, il reste à lire 68%, de cet article.)

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