C'est la fin des autoroutes urbaines spécifiques qui polluent les villes

L'exemple type est celui du périphérique parisien qui facilite aux parisiens de sortir de la capitale, mais qui sert, comme toutes les routes en Ile de France qui mènent à Paris, aux Franciliens de la contourner, plus que jamais, depuis la fermeture des voies sur berge, à défaut ils ont la Francilienne, mais les trajets sont c'est nettement plus long que de passer par Paris.

Du temps du « tout automobile », des autoroutes urbaines devaient prolonger notamment la A6 avec une sortie au centre de Paris, puis faire la jonction avec l'A1 l'autoroute de Nord, il en reste toujours l'amorce, à la hauteur de la porte d'Orléans, qui passe sous le périphérique, mais sans aller plus loin, elle n'a jamais lais été réalisée.

Il faut dire que le président Georges Pompidou, à qui nous devions les voies sur berges, était en son temps un fanatique de l'automobile, un esprit tempéré par (vous en avez lu 15%, il reste à lire 85%, de cet article.)

…

Cet article est réservée aux abonnés à RiskAssur-hebdo Privilège

Vous êtes déjà abonné, pour vous identifier, cliquez ici

Abonnement en ligne
Abonnement 12 mois pour 504 euros ttc, en cliquant ici
Abonnement 1 mois pour 56,40 euros ttc, en cliquant ici
Essayer RiskAssur PRIVILEGE pour seulement 15 euros, vous donnant acces a l'integralite des archives (plus de 35 000 articles) : cliquez ICI