Le combat contre la pollution doit devenir prioritaire et ne peut plus attendre

C’est devenu une réalité reconnue par les pouvoirs publics qui, dans un communications du ministre de l’Ecologue, sur laquelle nous aurons l’occasion de revenir, a expliqué la gestion de l’épisode de pollution de l’air, que nous venons de subir.

Force est de constatez que l’épisode de pollution, dont nous sortons tout juste, a laissé des traces dans les esprits.

Le grand public, qui en a été la victime, notamment en ile de France, a gardé l’impression que cet épisode a été géré, comme d’habitude, par des mesures insuffisantes, en arrivant à la conclusion que la pollution ne se combat pas uniquement à l’occasion des pics, mais par des changements majeurs de nos modes de vie.

Cependant, le débat qui s’en est suivi n’aborde pas les moyens à mettre en oeuvre pour ramener à un niveau acceptable la pollution, comme celle qui vient de nous frapper et qui risque de se reproduire.

Il se concentre sur la faiblesse de la politique de santé environnementale en France, ce qui revient à s’attaquer aux effets, plutôt qu’aux causes de la pollution.

Nous ne pouvons pas dire que c’est une bonne approche, mais c’est malheureusement la seule susceptible de produire des résultats à court terme et (vous en avez lu 51%, il reste à lire 49%, de cet article.)

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