Il sera de plus en plus difficile de laisser dormir des richesses inexploitées dans notre sous-sol

Il s’agit bien entendu de l’exploitation de l'huile et des gaz de schiste dont notre sous-sol regorgerait et hâtivement abandonnée, pour des raisons de protection de l’environnement, en 2011.
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Cette position est fondée sur les risques inhérents à la fracturation hydraulique, des roches renfermant ce type d’hydrocarbures, qualifiés de non conventionnels.


Or, la France est pratiquement tributaire à 100 % d’importations, pour couvrir ses besoins en hydrocarbures liquides et gazeux, ce qui contribue lourdement à son déficit commercial et rend cette position de moins en moins tenable.
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Pendant ce temps, les Etats-unis sont sur le point de gagner leur indépendance énergétique en exploitant - à fonds - leurs gisements non conventionnels par la technique de la fracturation hydraulique et d’autres pays, comme la Pologne s’apprête à en faire autant.
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Il faut savoir que même si la France devait renoncer durablement à ce type d’exploitation, nous subirions, si elles devaient se produire, les conséquences des catastrophes de toute nature annoncées par les écologistes.
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Cependant, il faut aussi tenir compte de (vous en avez lu 42%, il reste à lire 58%, de cet article.)

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