L'exécutif s'est donné jusqu'au 27 mai pour décider du second tour des élections municipales

Bien que le début du déconfinement n'ait pas relancé d'une manière notable la circulation du virus, celui-ci est toujours là, ce qui a fait dire à la directrice générale de Santé publique France qu'il est trop tôt pour tirer un premier bilan de début du déconfinement.

Le 19 mai, la direction générale de la santé du ministère de la santé a annoncé une baisse de 342 dans le nombre total de décès en Ehpad en raison d'un ajustement dans la remontée des données en provenance des agences régionales de santé les ARS, mais en réalité, on ignore où on en est, au point que la directrice de Santé publique France défend la mise en place, au plus vite, d'un nouveau système de remontée des informations pour remplacer le système de signalement qui n'était pas suffisamment précis.

Quant à l'absence de données sur les décès à domicile, la présidente de Santé publique France évoque la difficulté de travailler avec les certificats de décès où sont inscrites les causes de la mort, majoritairement sur papier, dont la numérisation prend du temps, si un bilan doit être donné vers la mi-juin, il sera nécessairement partiel, en sachant que d'après les premières estimations, les décès à domicile représenteraient un pourcent des morts imputables à la Covid-19, un chiffre sans commune mesure avec celui de la canicule de 2003.

On (vous en avez lu 41%, il reste à lire 59%, de cet article.)

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