L'industrie automobile européenne est en chute libre

Elle était déjà en grande difficulté depuis les risques que fait planer la lutte contre le réchauffement climatique sur son activité, en sachant que les voitures à moteur thermiques qu'elle peut sortir de ses usines sont condamnées.

En 2019, elle s'est maintenue à flot, grâce à des rabais et des astuces comme la vente de voitures non commandées à ses réseaux, pour être commercialisées à force de rabais.

Les constructeurs ont plus ou moins maintenu leur chiffre d'affaires, mais leur bénéfice a plongé, les voitures électriques pourraient prendre le relais, s'il n'y avait pas le problème des batteries dont la production et la mise au rebut est une vaste source de pollution et d'émission de gaz à effet de serre, que l'on fait mine d'ignorer pour le moment, tant que le demande de voitures électriques et hybrides reste confidentielle.

Le secteur de l'automobile occupe une place importante en Europe, avec une part non négligeable en France, qui en est l'un des berceaux, avec des marques mondialement connues, que le gouvernement ne peut pas laisser tomber, au point de parler de nationalisations, si les capitaux privés font défaut.

Le groupe PSA vient de s'allier avec le groupe italo-américain Fiat Chrysler, alors que Renault, avec son allié Nissan subit le contre-coup du scandale Carlos Ghosn.

C'est (vous en avez lu 37%, il reste à lire 63%, de cet article.)

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